Tibétains pas prêts à être libres (1page.)

LE PEUPLE TIBÉTAIN PAS PRÊT À DEVENIR LIBRE CHEZ LUI,
MONTRÉ PAR L’EXISTENCE DU
PAVILLON DE LA CULTURE TIBÉTAINE À AUROVILLE

 
—Lorsque l’Inde, en l’an numéroté 1988 par tyrannie chrétienne, décida des règles de l’organisation et du fonctionnement d’Auroville, elle se l’appropria.

—Par ailleurs, et comme déjà montré précédemment, il y eut d’abord la volonté de construire, dans cette ville, un Pavillon du Tibet. C’était débile puisqu’il n’y a pas actuellement de pays nommé Tibet alors que la Zone internationale d’Auroville est prévue pour des pavillons de pays, et aussi parce que c’était un Français qui était à l’origine de cela.
—L’Inde accepta la construction d’un Pavillon mais en le faisant être Pavillon de la culture tibétaine. Il est parfois appelé, de fait, Pavillon du Tibet.
—Le Dalaï Lama en place approuva cela.

—Ce moine en chef est considéré, au moins par les Tibétains réfugiés en Inde et qui représentent le peuple tibétain qui ne veut pas de la soumission à la domination étrangère chinoise, comme représentant du peuple tibétain.
—Il apporta son soutien à quelque chose qui existe sous des lois indiennes, dans leur cadre. Il accepta ainsi le placement sous une domination étrangère, indienne.

—La conclusion est que le peuple tibétain n’est pas prêt à devenir libre, maitre chez lui, souverain chez lui. Il n’est pas digne d'être ainsi. Il ne mérite pas de l’être.
—Le Pavillon de la culture tibétaine qui est à Auroville montre cela.